Avec son bureau local à Cotonou à quelques pas du Collège Père Aupiais, l’Agence de Médecine préventive mène d’importantes actions pour l’accès des populations à des vaccins de qualité au Bénin. Un travail colossal que l’agence présente aux médias nationaux et internationaux dont La Nouvelle Tribune, depuis ce mardi 05 juin 2016.
Le Bénin fait partie des Etats africains ou le système de vaccination est en voie d’amélioration. Ceci est le fruit d’une collaboration entre le ministère béninois de la santé et certains partenaires dont l’Agence de médecine préventive (Amp).
Une association basée à Paris ayant des bureaux locaux dans une soixantaine de pays dont ceux de l’Afrique francophone. Selon Dr Hamed Idrissa Traoré Directeur de l’Amp-Bénin, cette agence a à son actif « plus de 40 ans d’engagement dans la médecine préventive et la santé publique ». Comme dans la plupart des pays d’Afrique francophone, informe-t-il, l’Amp a formé de nombreux cadres du ministère de la santé et contribué à des renforcements de capacité au Bénin. Entre autres, apprend Dr Idrissa Traoré, l’Amp appuie le volet Vaccination et santé publique. Concernant la vaccination, l’Amp s’illustre au Bénin avec un domaine de professionnels indispensables, la logistique de santé et la logistique de vaccination à travers Logivac, un projet qu’elle et l’Oms, ont conjointement mené d’avril 2011 à juillet 2015, avec une généreuse subvention de la Bill and Melinda Gates Foundation. Ce projet qui se poursuit en raison de ses résultats est devenu Logivac+.
L'assemblée provinciale de Khouribga a approuvé, lundi à l'unanimité lors d'une session extraordinaire, un projet de convention de partenariat pour la mise à niveau des services de santé en matière de lutte contre le cancer dans la région de Béni Mellal-Khénifra. Cette convention, qui s'inscrit dans le cadre de l'Initiative nationale pour le développement humain et rassemble la Fondation Lalla Salma – Prévention et traitement des cancers, le ministère de la Santé, l'assemblée régionale et les assemblées provinciales de la région, vise la mise en place et l’équipement de centres de traitement du cancer. Elle s'assigne également pour objectif de renforcer et de qualifier les ressources humaines travaillant dans ce domaine en vue d’améliorer et de généraliser les prestations sanitaires dispensées, notamment au niveau du dépistage précoce de la maladie.
Les maladies endémiques à ce continent sont au centre de ces recherches. Les professeurs travaillant au sein de cet institut sont optimistes quant aux résultats attendus.
Comment résoudre les problèmes de santé dans le monde et notamment en Afrique ? Les chercheurs de l’Institut de la médecine tropicale de l’université de Nagasaki, au Japon, tentent de trouver la réponse à cette question. Beaucoup de personnes ont perdu leur vie à cause des maladies tropicales. « Notre institut vise à vaincre les maladies tropicales, les maladies infectieuses, en particulier ainsi que divers problèmes de santé liés à ces maladies », soutient le professeur Kouichi Morita, directeur général de l’Institut.
Créé en 1942, et considéré comme étant l’Institut des endémiques en Asie de l’Est, l’établissement s’occupait alors, principalement, de recherches fondamentales et de leurs applications en pathologie, bactériologie, médecine interne et dermatologie. En 1949, ce centre de recherche a changé d’appellation en Institut de maladies endémiques, pour devenir plus tard, en 1962, Institut de la médecine tropicale. Comme son nom l’indique, l’Institut se focalise sur les maladies qui sévissent aujourd’hui dans les pays tropicaux.
Fruit d’un partenariat entre l’Institut de recherches médicales et d'études des plantes médicinales (IMPM) et la Société française de réactifs et d’instruments (SFRI), spécialisée dans les analyses de biochimie humaine, cette usine sera, selon les promoteurs, la toute première en Afrique subsaharienne.
Ce transfert de technologie dans le domaine de la médecine est une grande première en Afrique, tourné vers l’importation de la quasi-totalité des produits de santé.
A cet effet, une délégation en provenance de Bordeaux Métropole, conduite par Michel Vernejoul, conseil délégué en charge des relations internationales et de la décentralisation de cette ville, a été reçue en audience par la ministre de la Recherche scientifique et de l’Innovation (MINRESI), Madeleine Tchuinté, le 29 juin 2016 à Yaoundé.
La Fondation Mohammed VI de promotion des œuvres sociales de l’Education-formation a souscrit un nouveau contrat d’assurance complémentaire d’un montant de 135 millions DH au profit de la famille de l’enseignement. L’AMC+ est gérée pour le compte de la Fondation par la compagnie d’assurance Saham.
Fidèle à sa mission en faveur du corps de l’enseignement public, la Fondation Mohammed VI de Promotion des œuvres Sociales de l’Education-Formation lance aujourd’hui l’AMC+, une version améliorée de l’assurance médicale complémentaire (AMC).
Introduite depuis 2004 par la Fondation, la complémentaire santé de la famille de l’enseignement consolide leur couverture médicale de base et vise à réduire au maximum le reste à leur charge concernant les frais de santé.