Dans les salles feutrés des congrès médicaux, sous les dorures des hôtels cinq étoiles ou à l’ombre des amphithéâtres universitaires désertés par l’éthique, la formation médicale continue au Maroc semble prise en otage.
Non pas par les médecins eux-mêmes, ni par les patients, mais par une alliance implicite entre l’industrie pharmaceutique et un État qui observe, muet et absent, ce glissement lent mais certain vers une marchandisation du savoir médical.
L’anatomopathologie : du microscope à l’intelligence artificielle – Une révolution silencieuse du diagnostic médical
Par Dr Anwar CHERKAOUI
La ville ocre, Marrakech, accueillera le 1er Congrès Africain de Pathologie Numérique, du 18 au 20 avril 2025, indique Hicham EL ATTAR, médecin anatomopathologiste et l’un des initiateurs de cet événement continental de formation médicale continue de pointe.
Par Dr Anwar CHERKAOUI avec le concours du Pr El Malki Hadj Omar, spécialiste en chirurgie digestive et endocrinienne et Dr Hicham EL ATAR, médecin anatomopathologiste
Le Maroc accueille à Marrakech, le 1er Congrès Africain d’anatomopathologie du 18 au 20 avril 2025. Tout acte chirurgical dépend impérativement du résultat de l’axemen anatomopathologique. L’apport du numérique à l’anatomooathologie commenté par un Professeur de Chirurgie viscérale, Pr ELMALKI Hadj OMAR
Un nouveau texte de loi – le décret n° 2.23.1054 du 23 Ramadan 1446 (correspondant au 24 mars 2025) – régissant le fonctionnement des Groupements Sanitaires Territoriaux (GST) vient de paraître au Bulletin officiel.
Le constat le plus frappant est l'absence totale de représentants du secteur médical libéral dans les Conseils d’Administration de ces GST, alors que ce secteur représente près de 50 % de l’offre de soins au Maroc.
La Fondation des Enseignants Médecins Libéraux (FEML), organise un débat sur la Formation médicale continue au Maroc, mercredi 16 avril 2025, de 18h à 21h à l’UIR de Rabat.
Il faut rappeler que le paysage médical marocain a connu une mutation significative ces dernières années, marquée par le passage de nombreux enseignants en médecine et pharmacie du secteur public au secteur libéral.