Le collectif médical humanitaire et environnemental de la région Casablanca Settat lance une formation au profit des associations et des professionnels, en partenariat avec le pole médical et humanitaire du centre d’animation du tissu associatif de la Fondation Mohamed V pour la solidarité.
En lançant cette formation, le collectif et le pole mettent l’accent sur le rôle que doit jouer la société civile pour aider à relever les défis du changement climatiques et leur influence sur la santé des populations. Une stratégie de travail pour les mois à venir qui comporte entre autre un programme de formation aux profits des professionnels de la santé, et pour la première fois une formation dans le domaine de la santé et environnement des associations et des professionnels.
Dans le cadre du développement de son programme greffe d’organes et de tissus humains, Le CHU Mohammed VI de Marrakech s’est doté de la première banque d’os au Maroc.
Le processus de lancement de cette banque d’os a démarré il y’a 10 ans, par la constitution d’un dossier ficelé englobant les étapes suivantes :
-Enquête auprès des chirurgiens orthopédistes en 2006
-Enquête auprès d’un large échantillon des donneurs potentiels en 2006
-Montage financier et administratif du projet
-Adoption du projet par l’administration du CHU et du comité de greffes d’organes
-Acquisition des congélateurs dédiés à cette activité au sein de la banque des tissus
--Validation du manuel de procédures du don des têtes du col du fémur allant du consentement du patient, passant par la batterie d’examens de laboratoires à faire jusqu’à l’utilisation finale.
- La production et la vente définitivement interdites le 1er juillet
- Les industriels n'ont pas obtenu de période transitoire
- Une campagne de ramassage pendant 5 mois
La consommation de sacs en plastique est importante. Le Maroc se classe juste après les Etats-Unis et avant l'Australie. C'est une source de pollution permanente. Le sac en plastique met entre 100 à 400 ans pour se dégrader
Plus que deux semaines avant que l'interdiction des sacs en plastique ne soit effective. Leur fabrication tout autant que leur importation seront bannies. La nouvelle loi concerne tous les sacs en plastique à l’exception de ceux destinés aux secteurs agricole et industriel ainsi qu’à la collecte des déchets ménagers. Les sacs isothermes et ceux servant à la congélation et surgélation sont également épargnés. Ils doivent, par contre, obéir à des normes de conformité et à un marquage qui doit être précisé par voie réglementaire. Or, ce volet de la législation pourrait mettre un peu de temps à se mettre en place puisque l’arrêté est toujours bloqué au Secrétariat général du gouvernement.
La Journée mondiale de lutte contre la drépanocytose. Au Sénégal, selon les statistiques, rien n’a changé, parce que 10 % de la population générale sont toujours porteuses du gène. Cependant, la drépanocytose prend des proportions inquiétantes chez les enfants où 1.700 naissent chaque année avec la forme la plus grave.
Découvert en 1910, la drépanocytose prend de l’ampleur dans les pays sous-développés. Au Sénégal, 1 personne sur 10 est porteuse du gène de la drépanocytose. Ce qui, d’après le Pr Ibrahima Diagne, point focal chargé de la lutte contre la drépanocytose au ministère de la Santé, donne un taux de 10 % de la population générale. « La plupart des Sénégalais sont As, une forme de drépanocytose moins grave, parce que l’on peut vivre pendant 100 ans avec sans tomber malade », a précisé le Pr Diagne. Par contre, a-t-il révélé, chaque année, 1.700 enfants naissent avec la drépanocytose, notamment la forme la plus grave de la maladie. « Ils sont ainsi porteurs de cette maladie à vie », a affirmé M. Diagne.
Un exemple de la régionalisation en matière de santé
Le Roi Mohammed VI a procédé, samedi à l'arrondissement Sidi Othmane (Préfecture Moulay Rachid), au lancement du programme socio-médical de proximité pour la région de Casablanca-Settat (2016-2020).
Initié par la Fondation Mohammed V pour la Solidarité, ce programme s’inscrit dans le cadre du plan d’action mené par la Fondation et visant à soutenir le secteur médical national, à travers le renforcement de l’offre médicale existante, l’amélioration de l’accès aux soins des populations les plus démunies, et l’intégration d’une approche sociale complémentaire dans les mécanismes d’accompagnement des patients et bénéficiaires.
Ce programme régional ambitionne l’amélioration et le renforcement des infrastructures médicales au niveau de la région, via la construction de 8 établissements médico-sociaux et de quatre établissements de soins de santé primaire. Il s’agit de 3 centres de santé niveau 1 à Ain Chock, Casablanca-Anfa et Sidi Bernoussi, d’un centre de santé niveau 2 à Moulay Rachid et de 2 centres d’addictologie à Nouaceur et Sidi Bernoussi, et de deux centres médico-psycho-social à Sidi Bernoussi et Moulay Rachid.