Les bienfaits du sable de Merzouga ne cessent de se confirmer. La dernière étude en date révèle que les graines de sable du plus célèbre désert marocain présentent un pouvoir surprenant.
Cette découverte a valu à Mohamed Amar, chef du Laboratoire de microbiologie et biologie moléculaire du Centre national pour la recherche scientifique et technique (LMBM- CNRST) de Rabat, le Wissam Al Moukafâa Al Wathania de 3ème classe (officier).
Décoré par le Souverain, en marge des festivités de la Fête du Trône, Mohamed Amar a, en effet, participé de près à la découverte d’un micro-organisme d’origine marocaine doté d’un pouvoir répulsif contre les moustiques vecteurs de maladies infectieuses.
Au Maroc, à l'heure actuelle, le nombre de personnes qui arrivent à des stades d’insuffisance rénale terminale augmente de façon très inquiétante. Et bien que le parc des centres d'hémodialyse, aussi bien dans le secteur public que privé, est de plus en plus étoffé, il ne couvre pas tous les besoins à l’échelle nationale. Une des solutions, est le développement de la greffe rénale dans les 5 chu du Royaume. Mais , qui dis greffe, , dis disponibilité de greffons. Ces derniers ne peuvent provenir que de donneurs vivants apparentés, pour un membre de leur propre famille, ou à partir d'une personne en état de mort encéphalique, généralement suite à un accident de la voie publique.
Hélas, il y a manque flagrant de greffons, faute de donneurs, qui ne sont pas sensibilisé au fait qu'un don cadavérique, peut donner la vie à plusieurs personnes. Encourager le don d'organes, est une responsabilité de l’État. Et elle ne s’acquitte pas de cette responsabilité, ce qui aboutit au décès de plusieurs dizaine de personnes.
Le ministère sénégalais de la Fonction publique, de la Rationalisation des effectifs et du Renouveau du service public, et l’Hôpital Universitaire International Cheikh Zaïd (HUICZ) de Rabat ont signé, hier à Dakar, une convention portant sur l’évacuation de fonctionnaires sénégalais malades vers cet établissement hospitalier.
Le Centre des études de Bioéquivalence Cheikh Zaid (CEBCZ ) vient d’octroyer la bio équivalence à INROS, premier médicament marocain jugé bioéquivalent fabriqué par Cooper.
Le site d'information de la médecine du 21ème siècle, www.sante21.ma, vient d'annoncer que INROS, médicament générique développé par COOPER Pharma, est le premier médicament jugé bioéquivalent au princeps par le Centre des études de Bioéquivalence Cheikh Zaid (CEBCZ). Dédié à la spécialité de rhumatologie, INROS est un aminobisphosphonate qui permet de combattre la perte osseuse, liée à l’ostéoporose. Les femmes sont beaucoup plus touchées par cette pathologie, en particulier à la ménopause. Administré au long court, la médication permet d’éviter les fractures répétitives, qui peuvent dans certains cas être handicapantes, voire engager le pronostic vital chez les personnes âgées.
Monde, (Starducongo.com) - La communauté internationale célébrera le jeudi 28 la Journée mondiale contre l'hépatite. Une maladie qui fait de nombreuses victimes à travers le monde. L’occasion pour l'Organisation mondiale de la santé (OMS) de tirer la sonnette d’alarme sur les risques hépatiques et d’exhorter les pays à renforcer les tests de dépistage et l'accès aux traitements pour les 400 millions d'individus dans le monde infectés par l'hépatite B ou C.
il faut dire que la situation demeure préoccupante. Selon l’agence onusienne, le nombre de personnes atteintes de l'hépatite B ou C dans le monde est plus de 10 fois supérieur à celui des personnes infectées par le VIH.
Des médecins légistes, des juristes, des fonctionnaires des bureaux communaux d’hygiène de plusieurs arrondissements de Casablanca (Sidi Othmane, Anfa, Sidi Belyout…) se sont réunis jeudi dernier à l’arrondissement de Sidi Belyout pour aborder le sujet du constat de décès et de la délivrance des certificats médicaux y afférents qui hante les esprits des Casablancais.
C’est le bureau communal d’hygiène de chaque commune ou arrondissement qui se charge, entre autres, des activités médico-légales. C’est-à-dire que le médecin du bureau d’hygiène est tenu en cas de décès de s’assurer que la mort a bien eu lieu et de sa nature. S’il s’agit d’une mort naturelle, il est tenu dans ce cas de délivrer aux proches du défunt le certificat de décès et le permis de l’inhumer. Si en revanche il s’agit d’une mort anormale, il doit prévenir la police qui avise pour sa part le procureur du Roi. Ce dernier demande une autopsie du cadavre pour déterminer la cause du décès.