Le "valproate de sodium" est une substance contenue dans certains médicaments contre l’épilepsie. Hier, le 30 août 2016, il a fait l’objet d’une réunion élargie du Comité consultatif national de vigilance pharmaceutique qui a émis des recommandations quand à sa prescription.
Ces médicaments de base pour traiter l'épilepsie et les troubles bipolaires sont utilisés comme un traitement dans tous les pays du monde, depuis plus d'un demi-siècle. Leurs effets secondaires, peuvent néanmoins, conduire à des anomalies fœtales chez les patientes qui le suivent.
Pas besoin d'être obèse pour que le surplus de poids soit dangereux pour la santé : seulement quelques kilos de trop suffisent, selon un chercheur américain.
Jonathan Samet, de l'Université de la Californie du Sud, et son équipe ont épluché 239 études réalisées à travers le monde et regroupant quelque 10,6 millions de participants.
Leur analyse a porté sur les participants non-fumeurs, qui ne souffraient d'aucune maladie chronique et qui étaient toujours vivants cinq ans après le début de leur étude.
Que ce soit en Amérique du Nord, en Europe ou en Asie de l'Est, aussi bien l'obésité que le simple surplus de poids ont été fortement associés aux décès attribués à la maladie coronarienne, aux accidents vasculaires cérébraux et aux maladies respiratoires. Une association plus modeste a été constatée avec la mortalité attribuable au cancer.
Le Centre hospitalier universitaire (CHU) Mohammed VI de Marrakech a organisé une cérémonie en l’honneur de la fin de formation de son premier groupe de techniciens et infirmiers en provenance de la République démocratique du Congo.
«Cette formation d’un an s’inscrit dans le cadre d’un accord de partenariat conclu entre le CHU Mohammed VI et l’organisation mondiale des médecins transcontinentaux», apprend-on des responsables du Centre.
Pour la première fois, une étude révèle que les femelles moustiques peuvent transmettre Zika à leurs œufs et par conséquent à leur progéniture. Elle montre ainsi la nécessité de se débarrasser des larves autant que des adultes pour lutter contre la propagation du virus.
“Alors que l’apparition à Miami du virus Zika transmis par la femelle Aedes aegypti a déclenché une guerre sans merci contre cet insecte nuisible, une nouvelle étude révèle que les femelles moustiques peuvent transmettre le virus à leurs œufs et à leurs petits”,dévoile le site EurekAlert!Ce qui signifie que le virus peut survivre – bien à l’abri dans les œufs – même par temps froid, en période de sécheresse ou à l’attaque de pesticides qui tuent les adultes infectés.
Une somme de 21 milliards d'euros pour réformer les systèmes de soins de santé en Afrique, c'est le montant que la Banque mondiale et le fond mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme ont décidé d'investir sur les trois à cinq prochaines années sur le continent africain. Une annonce faite le vendredi 26 août au soir par les deux organisations dans un communiqué commun en marge de la Conférence internationale de Tokyo pour le développement de l'Afrique (Ticad) qui se tenait à Nairobi, ce week-end.
Ce weekend à Nairobi, à l'occasion de la Conférence internationale de Tokyo pour le développement de l'Afrique (Ticad) la Banque mondiale s'est engagée à investir quinze milliards de dollars en cinq ans pour aider à une mise en place d'une converture santé universelle.
Le séminaire de formation des chirurgiens intéressés par la chirurgie de guerre organisé au CHU de Marrakech en est un parfait témoignage. Laurence Beuchard, qui œuvre depuis 8 ans dans l’humanitaire dans les pays d’Afrique et du Moyen- Orient, dirige actuellement la société Bioassays, positionnée dans la formation chirurgicale et l’organisation de missions humanitaires. A quelques jours du séminaire, organisé en partenariat avec la Chambre de commerce et d’industrie française au Maroc (CFCIM) préparant la formation pour le compte du CHU de Marrakech, la militante nous livre en exclusivité sa vision mais aussi les enjeux d’un tel événement au Maroc qui s’apprête à accueillir la COP22 en cette fin d’année.
ALM : Pourriez-vous nous dresser le contexte dans lequel vous opérez aujourd’hui au Maroc en matière de sensibilisation à la formation à la chirurgie de guerre catastrophe?