Pour une meilleure prise en charge de l'Accident vasculaire cérébral (AVC) au Maroc
Par Dr Samir ZTOT, Cardiologue
et Dr Bounhir BOUMEHDI, Radiologue
Propos recueillis par Dr Anwar CHERKAOUI / Directeur médical de sante21
L’accident vasculaire cérébral (AVC), s’il ne tue pas, il paralyse, parfois à vie. Aujourd’hui, cette issue n’est plus une fatalité. On peut prévenir l’handicap, ou du moins récupérer les déficits moteurs et sensitifs. Un seul mot d’ordre, l’urgence dans la prise en charge diagnostique et thérapeutique. Deux médecins Marocains lancent un cri d’alerte. Un cardiologue, Dr Samir ZTOT et un radiologue, Dr Bounhir BOUMEHDI.
غلافان لمجلتين. الغلاف الأول لمجلة أسبوعية فرنسية. و الغلاف الثاني لمجلة مغربية ناطقة بالفرنسية. ضمن كل مجلة إشهار لإحدى المشروبات الكحولية.
بغض النظر عن الجانب الديني واحدة من المجلات ترفق الإشهار بإنذار صحي. أما المجلة الأخرى فلا تكلف نفسها هذا الواجب. مارأيكم؟ هل هناك خطأ صحي وإعلامي وإشهاري؟ ومن المسؤول، المجلة أم صاحب الاشهار؟ أم من يا ترى؟
IL S'agit de deux couvertures de deux hebdomadaires. L'un est Français, l'autre est Marocain. Et il s'agit de deux publicités de deux boissons alcoolisées. Une est publiée dans la revue française et l'autre est publiée dans la revue Marocaine.
Président de la Société Marocaine de Nutrition (SMN)
Responsable de l’équipe de transition alimentaire et nutritionnelle (ETAN) au laboratoire des essais biologiques de l’Université Ibn Tofaïl (Kenitra)
Un tour de taille supérieur à 88 cm chez la femme ou à 102 cm chez l’homme marque une obésité abdominale et expose au diabète et aux maladies cardio-vasculaires. L’obèse n’est pas le seul responsable de sa maladie. il faut l’aider par le changement de notre environnement « obésogène » par une intervention multisectorielle des acteurs clés, médecins, scientifiques, société civile et autorités sanitaires.
IL S'agit de deux couvertures de deux hebdomadaires. L'un est Français, l'autre est Marocain. Et il s'agit de deux publicités de deux boissons alcoolisées. Une est publiée dans la revue française et l'autre est publiée dans la revue Marocaine.
Que disent les instances officielles au Maroc : ministère de la santé, l’ONSSA, les instances de répression des fraudes ou le ministère de l’industrie ?
Le centre antipoison Marocain, a souvent rappelé que les piles sont sources de véritables intoxications chez l’enfant. Et, en France, chaque année, les « piles bouton » sont à l’origine de 1200 visites aux urgences. Les moins de 5 ans sont les plus concernés. Malheureusement on ne dispose pas de statistiques au Maroc.
