Dans un petit village niché au creux des montagnes, un vieil homme s’assit devant un groupe d’enfants éblouis.
Ses yeux brillaient d’une sagesse mêlée de souvenirs.
« Il fut un temps, » commença-t-il d’une voix douce, « où ces rires d’enfants que nous entendons aujourd’hui étaient parfois étouffés par des toux profondes, des pleurs de fièvre, ou des silences tragiques.
Un virus insidieux semble s’être infiltré dans les rouages du système étatique marocain, laissant derrière lui des traces de blocages et d’inefficacité.
Après avoir paralysé le secteur de l’enseignement supérieur sous l’ère de l’ancien ministre déchu, voilà que ce "syndrome Miraoui" contamine désormais le ministère de la Santé, mettant en péril la vie de milliers de citoyens.
Une formation post-universitaire de haut niveau intitulée « EPU : Tumeurs des tissus mous – Initiation et approches diagnostiques » s’est tenue récemment à la Faculté de Médecine et de Pharmacie de Tanger, réunissant experts et participants autour de l’innovation pédagogique en anatomie et cytologie pathologique.
Lors de la journée scientifique organisée le 18 décembre 2024 à l’Université Mohammed V par Women in Nuclear Morocco (WiN Maroc), deux thématiques d’avant-garde ont capté l’attention des participants : la theranostique et les cyclotrons, deux piliers émergents des applications nucléaires en médecine et en pharmacie.