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30 Septembre - 1er Octobre / Essaouira : 13éme Cours Supérieur Franco-Maghrebin de Sénologie

 
Participation de Grands Noms de la Cancérologie Mondiale 
 
La vie après le cancer, la radiothérapie à l'horizon 2030, les tests génétiques de prédisposition au cancer du sein, la génomique du sein, la chirurgie conservatrice innovante du cancer du sein, les canons de la mode changent-ils les indications thérapeutiques dans les cancers du sein, sont quelques unes des principales thématiques du 13ème Cours Supérieur Franco-Maghrebin, qui seront désenveloppées par de grands noms de la cancérologie mondiale, tels, F.Benna, E.Gallon, P. Bey, Ph. Dalivoust, MG.Zizi, PJ. Lamy et D. Mattar, D.Serin et F.Habib. 
 
Et comme apothéose, la 13émé edition du cours supérieur Franco-Maghrebin de Sénologie, rendra un vibrant hommage à deux pioniers de la cancérologie Marocaine, Mohamed El Morchid et Abdelatif BOUIH.
 
 
 
 

Cancer du sein en 2016 : Des progrès notables qui doivent être connus

 Apprendre à se palper les seins, afin de détecter un cancer à ses débuts, sauve la vie de la femme, rappelle Dr Faouzi HABIB, Cancérologue Marocain

Dr Anwar CHERKAOUI

« Aujourd’hui, pour le cancer du sein, on guérit plus, on traite mieux et de façon plus personnalisée, les interventions chirurgicales sont plus esthétiques, de nombreux médicaments révolutionnent le traitement du cancer du sein et enfin la prévention s’améliore. Des progrès notables ont été réalisés en matière du cancer du sein et qui doivent être connus et diffusés auprès des femmes ». C’est en ces termes que les Dr Faouzi HABIB et Dr Daniel SERIN, cancérologues marocain et Français, abordent le cancer du sein en 2016, à l’occasion du 13ème cours Supérieur Franco-Maghrébin de Sénologie (sciences des maladies du sein), qui aura lieu à Essaouira les 30 septembre et 1er octobre 2016.

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23 Août 2016 : A l'Occasion des Jeux Olympiques de Rio 2016

Les dix (10) règles d’or pour la pratique sportive sans risques 
 
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Incroyable ! Et pourtant c'est vrai : chaque année meurent en France, au cours d'exercices sportifs, environ 15 pratiquants professionnels et 800 amateurs- soit quelque 3 morts par jour-, en compétition ou en activité de détente, rapporte la revue Jeune Afrique dans son édition du 14 au 27 août 2016. Ces chiffres inattendus résultent d'études très sérieuses du centre d'épidémiologie sportive de l'hôpital Georges-Pompidou (Paris). Si on ne dispose pas d'études comparables en Afrique, aux États-Unis, en revanche, on a observé que les populations d'origine africaine présentent plus de morts subites que les autres sans qu'on ait fourni d'explication documentée.
 
Ce risque, maintenant avéré, a conduit le Club des cardiologues du sport à rappeler les dix règles d'or. A l’occasion des jeux Olympique de Rio 2016 , le site web www.sante21.ma, présente le dix (10) règles d’or pour la pratique sportive sans risques.
 
 
1) Faire toujours un échauffement (pour mettre les muscles et le cœur en condition favorable avant l'effort) et observer dix minutes de récupération à la fin de l'effort afin d'éviter des troubles du rythme dangereux ou même un infarctus « retardé ».
 
2) Boire 3 ou 4 gorgées d’eau toutes les trente minutes environ au cours de l'effort (pour éviter la déshydratation).
 
3)  Ne pas faire d'activités intenses si la température extérieure est très basse (inférieure à - 5 °C, en particulier si on est drépanocytaire) ou très élevée (supérieure à 30 °C, surtout pour les sportifs non adaptés à ces climats).
 
4) Ne pas fumer une heure avant ni deux heures après une pratique sportive (pour éviter des spasmes artériels surtout coronaires). Mieux : ne jamais fumer.
 
5)  Ne pas prendre de douche - ni chaude ni froide - dans les quinze minutes qui suivent un effort pour éviter des réactions vasculaires défavorables. Attention : combiner douche et cigarette présente un risque majeur.
 
6) Ne pas faire de sport quand on a de la fièvre ou dans les huit jours qui suivent une « grippe », une virose possible ou une fièvre d'origine inconnue. En effet, de nombreux germes peuvent « toucher le cœur » (myocardite) et entraîner un danger si un effort est entrepris avant cicatrisation d'une éventuelle petite lésion.
 
7) Au-delà de l'âge de 35 ans, faire pratiquer un bilan médical et cardiologique lorsqu'on reprend une activité sportive après une période d'arrêt.
 
8)  Signaler au médecin toute douleur dans la poitrine ou tout essoufflement anormal à l'effort. Ils peuvent alerter au sujet d'un risque très sérieux.
 
9-10) Signaler au médecin toute palpitation cardiaque (9) ou tout malaise (10) même passager survenant pendant l'effort ou dans l'heure qui suit l'effort. Ces signes peuvent aussi être précurseurs d'un danger.
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Le respect de ces quelques règles de prudence permettrait certainement d'éviter de nombreuses morts, toujours dramatiques dans ces circonstances et qui peuvent toucher des adolescents ou des adultes.
 
Lorsque malheureusement une syncope ou une perte de connaissance brutale se produit, la mort peut être évitée par un massage cardiaque ou par l'utilisation d'un défibrillateur (en principe présent dans tous les stades). Ces manœuvres pourraient être enseignées en quelques minutes dans tous les clubs, évidemment, et pourquoi pas dans toutes les écoles ? Rien n'est plus affligeant que l'image d'un sportif inerte au sol, entouré de joueurs ou d'organisateurs accablés mais incapables d'intervenir.
 
Ces risques liés à l'exercice mal contrôlé d'un sport ne doivent pas cacher les bienfaits physiques et psychiques que procurent les activités pratiquées dans de bonnes conditions et qui tiennent compte de nos capacités.
 
Mais n'oublions pas « qu'on court ou qu'on pédale avec ses muscles et son cœur » et qu'ils méritent la même attention. SPORTIF, CERTES, MAIS PRUDENT •

5 Août 2016 : Le Maroc rentre dans l’ère des médicaments bioéquivalents

 
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D'après www.sante21.ma

Le Centre des études de Bioéquivalence Cheikh Zaid (CEBCZ ) vient d’octroyer la bio équivalence à  INROS, premier médicament marocain jugé bioéquivalent fabriqué par Cooper.

Le site d'information de la médecine du 21ème siècle, www.sante21.ma,  vient d'annoncer que INROS, médicament générique développé par COOPER Pharma, est le premier médicament jugé bioéquivalent au princeps par le Centre des études de Bioéquivalence Cheikh Zaid (CEBCZ). Dédié à la spécialité de rhumatologie, INROS est un aminobisphosphonate qui permet de combattre la perte osseuse, liée à l’ostéoporose. Les femmes sont beaucoup plus touchées par cette pathologie, en particulier à la ménopause. Administré au long court, la médication permet d’éviter les fractures répétitives, qui peuvent dans certains cas être handicapantes, voire engager le pronostic vital chez les personnes âgées.

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13ème Édition du Cours Supérieur Franco-Maghrébin de Sénologie Essaouira : 30 Septembre- 1er Octobre 2016

 
La guérison du cancer du sein : est-ce un objectif scientifiquement réalisable ?
 
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 Dr Faouzi Habib  Dr Serin Daniel
 
Dr Anwar CHERKAOUI
Sur le plan international en matière de cancérologie, trois évènements retiennent l’attention. La nouvelle loi Française qui prévoit que les anciens malades ne sont plus tenus de déclarer aux Assurances  leur cancer dix ans après la fin de leur traitement. L’étude de la revue de « Science »/ Janvier 2016, qui attribue la genèse des cancers au hasard.  Et l’étude de la revue « Nature », qui aboutit à une conclusion diamétralement opposée, l’essentiel du risque des cancers est de 70 à 90 % d’origine environnementale. C’est dans ce contexte scientifique international controversé, que se tient la 13ème Edition du Cours Supérieur Franco-Maghrébin de sénologie, à Essaouira les 30 septembre et 1er octobre 2016. Cette Rencontre de formation continue en cancérologie, qui réunit des experts nationaux, maghrébins,  européens et américains est magistralement organisée chaque année par Dr Faouzi Habib du Maroc et Dr Daniel Serin du côté Français. Le leitmotiv de cette édition, est que la guérison du cancer du sein, est un objectif scientifique réalisable.
 
Aujourd’hui, en France, sur la base de nouvelles données qu’a été élaborée ces derniers mois entre l’Insititut National des Cancers (INCa) et les sociétés d’assurances une nouvelle « grille de référence » affinant le « droit à l’oubli » prévu par la loi santé pour les anciens malades du cancer. Pour leur éviter d’avoir à payer des surprimes d’un montant parfois exorbitant lors de la souscription d’un crédit bancaire, le texte définitivement adopté en décembre 2015 prévoit que les anciens malades ne sont plus tenus de déclarer leur cancer dix ans après la fin de leur traitement. De ce fait, les cancers avec un bon pronostic, comme celui du testicule (96 % de survie à cinq ans) devraient figurer en bonne place. « A 95 % de survie, on peut considérer qu’on est sur un cancer qui se guérit », affirment les cancérologues.
 
Le cancer est-il dans deux tiers des cas la « faute à pas de chance » ou bien très majoritairement dû à des facteurs héréditaires ou environnementaux – pollutions, alcool, tabac, surpoids, infections virales ou bactériennes, rayonnements ? Un article paru en janvier 2016 dans la revue Science avait suscité un vif débat en mettant en évidence une corrélation entre le nombre de divisions de cellules souches intervenant au sein d’un tissu et le risque d’apparition d’un cancer dans ce même tissu, tout au long de la vie. Les auteurs, Cristian Tomasetti et Bert Vogelstein (université Johns-Hopkins, Howard Hughes Medical Institute) avaient laissé entendre qu’ils avaient ainsi démontré que les deux tiers des cancers étaient attribuables au pur hasard – alors qu’il s’agissait d’expliquer les différences de risque relatif de survenue de tel ou tel cancer.
 
Par ailleurs, une étude publiée dans Nature le 17 décembre 2015 relance la polémique : une équipe de l’université Stony Brook, partie du même jeu de données, aboutit à une conclusion diamétralement opposée. Selon Yusuf Hannun et ses collègues, entre 10 % et 30 % seulement du risque de cancer seraient d’origine « intrinsèque », c’est-à-dire tributaire de facteurs purement aléatoires. L’étude de Nature part des mêmes prémisses que celle de Science, à savoir que les phénomènes cancéreux ont pour origine une division cellulaire qui « tourne mal ». Mais les facteurs responsables de ces dérapages peuvent être aussi bien intrinsèques – une réplication erronée aléatoire de l’ADN – qu’extrinsèque – par exemple des rayonnements UV ou des agents mutagènes. L’étude de Nature conclue que l’essentiel du risque (entre 70 et 90 %) est d’origine environnementale.

La gestion de la vie après le cancer, quelle radiothérapie en 2030 ? Les possibilités thérapeutiques du cancer du sein en 2016, les tests génétiques de prédisposition au cancer du sein, la chirurgie conservatrice innovante comme traitement du cancer du sein, la reconstruction mammaire en immédiat par lambeau autologue du muscle grand dorsal de la malade, est-ce que les canons de la mode changent les indications thérapeutiques dans les cancers du sein, sont les principales thématiques de cette 13ème Edition du cours supérieur Franco-maghrébin de sénologie, indique Dr Faouzi Habib, l’un des co-Fondateurs de session Franco-Maghrébine de Cancérologie.

12 Août 2016 : Quoi de neuf en pharmacie, en para médecine et en Alerte Santé

Asthme, secteur paramédical et risque sanitaire lors de la pose de faux ongles
 
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Sélection par Dr Anwar CHERKAOUI
 
Selon la revue britannique «Lancet Respiratory Medicine », un nouveau médicament contre l’asthme.
 
Un médicament expérimental pourrait améliorer le sort des personnes souffrant d'une forme grave d'asthme et qui ne sont pas soulagées par les traitements habituels, selon une étude publiée dans la revue britannique «Lancet Respira-tory Medicine». Lors d'un test réalisé sur un petit nombre de patients, le Fevipiprant, développé par le groupe pharmaceutique suisse Novartis, a entraîné une diminution notable de l'inflammation des voies respiratoires chez des patients atteints d'asthme sévère, rapporte l'étude.

Ce résultat a été qualifié de «prometteur» par plusieurs experts qui ont toutefois souligné que des essais plus complets et plus longs seraient nécessaires avant que ce médicament puisse être proposé ux malades.

La plupart du temps d'origine allergique, l'asthme touche environ 6 à 7% de la population adulte et environ 10% des enfants de moins de dix ans. Soit au total quelque 5 millions de personnes au Royaume-Uni et 4 millions en France où il provoque quelque 900 décès par an.
 
1,8 millions de DH pour le Plan de formation à l'horizon 2021 du secteur paramédical
Le secteur paramédical aura son plan de formation à l'horizon 2021. Après l'agroalimentaire et les transports, le département de la Formation professionnelle a lancé lundi 8 août 2016, un appel d'offres pour commanditer l'étude d'identification des besoins en compétences de ce secteur. Coût de la prestation : 1,82 million de dirhams. L'objectif est d'accompagner la stratégie de développement du secteur par la formation des ressources humaines nécessaires. Celle-ci entend, entre autres, améliorer l'accès aux soins et de l'organisation des services et promouvoir la santé des populations à besoins spécifiques.
 
L'Agence nationale française de sécurité du médicament (ANSM) tire la sonnette d'alarme sur les faux ongles.
Nombreuses sont les femmes qui se laissent tenter par les faux ongles. Que ce soit pour enrayer une manie (se ronger les ongles) ou pour se sentir plus féminines, les adeptes de ce phénomène se multiplient. Mais si les faux ongles font effectivement de belles mains soignées et féminines, il faut savoir que cette pratique comporte néanmoins des risques, surtout quand le matériel n’est pas adapté.
L'Agence nationale française de sécurité du médicament (ANSM) tire la sonnette d'alarme, quel que soit la technique utilisée : résine auto-durcisseuse, gel UV, capsule en matière plastique ou petits bouts de tissu en fibres de verre directement collés sur l'ongle. Elle commence par indiquer que «des allergies au gel, à la colle ou à la résine» peuvent survenir se traduisant «par un eczéma autour des ongles». L'allergie peut alors s'étendre à d'autres parties du corps qui auront été en contact avec vos doigts (visage, yeux…). Un risque d’autant plus accru lorsque le matériel n’est pas adapté. Ce qui est, aux dires des femmes que nous avons interrogées, monnaie courante dans certains salons marocains. «J’ai dû changer de salon lorsque je me suis rendu compte qu’ils n’utilisaient pas le matériel adapté. En effet, en jetant un coup d’œil à la colle utilisée, j’ai découvert qu’il s’agissait de celle qu’on achète à 4 DH à l’épicerie pour coller le bois ou les semelles de chaussures.
 
À 350 DH la pose, c’est véritablement de l’arnaque !» explique Marwa, 22 ans, qui déplore également le manque d’hygiène de certains salons. «Parfois, le matériel n’est même pas à usage unique. Pour preuve, la prothésiste m’a fait saigner en limant mon ongle et a utilisé le même outil pour la cliente suivante. De même, les ciseaux n’ont pas été stérilisés et ont servi pour plusieurs clientes». Parmi les femmes interrogées, beaucoup se plaignent également de brûlures lors de la pose du gel UV. «Pour faire sécher le gel sur l’ongle, il faut mettre sa main dans une espèce de “four” à lampe UV. Mais je n’ai pas pu tenir longtemps, car cela me brûlait le bout des doigts. La prothésiste s’est moquée de moi en disant que j’étais trop sensible et m’a assuré que cela était normal». Pourtant, avec certaines marques de gel, cette sensation de brûlure est moins forte. Par ailleurs celles-ci, peuvent être dues à une trop grande quantité de gel appliqué sur l’ongle. Il est en effet préférable d’appliquer le gel en plusieurs fois. Enfin, la sensation de brûlure peut aussi être due à une mauvaise préparation de l’ongle, notamment lors d’un limage trop agressif qui le fragilise et le rend plus sensible. Comme l’indique l’ANSM, un limage trop agressif fragilise l'ongle qui peut se décoller. Quand l'ongle artificiel est posé au-delà de la limite de l'ongle naturel ou des cuticules, «une inflammation locale, une chute de l'ongle naturel, voire éventuellement des paresthésies au bout des doigts (sensibilité anormale de la peau) peuvent survenir». L'agence rappelle également les risques d'infection, due le plus souvent à un champignon. «J’avais un champignon sur le gros orteil. Par souci d’esthétisme, je souhaitais me faire poser de faux ongles. Je suis allée dans un salon réputé.
 
Je ne savais pas qu’il était préférable de soigner l’ongle avant d’effectuer la pose et la prothésiste ne m’a pas avertie. Résultat, j’ai commencé à avoir des douleurs et je n’arrivais plus à marcher. En enlevant la prothèse, je me suis rendu compte que l’ongle était devenu bleu et j’ai eu du pus», indique une cliente fidèle. À noter que la dépose de l'ongle doit être faite par un professionnel. En effet, certaines clientes ont tendance à se les retirer elles-mêmes, surtout lorsqu’une des prothèses s’est décollée. «Un ongle est parti alors que je faisais la vaisselle. J’ai dû retirer tous les autres pour uniformiser le tout», explique Fedoua. Cependant, si la jeune femme n’a pas rencontré de problème particulier, le procédé n’est pas sans risque. En effet, l’ANSM insiste sur le fait que la dépose de l'ongle doit être faite par un professionnel afin d’éviter de fragiliser l’ongle naturel et entraîner ainsi ultérieurement sa chute.

1 Août t 2016 : Aujourd'hui, on meurt au Maroc, faute de disponibilité d'organes à greffer

don d organes et la greffe

Dr Anwar CHERKAOUI

Au Maroc, à l'heure actuelle, le nombre de personnes qui arrivent à des stades d’insuffisance rénale terminale augmente de façon très inquiétante. Et bien que le parc des centres d'hémodialyse, aussi bien dans le secteur public que privé, est de plus en plus étoffé, il ne couvre pas tous les besoins à l’échelle nationale.  Une des solutions, est le développement de la greffe rénale dans les 5 chu du Royaume.   Mais , qui dis greffe, , dis disponibilité de greffons. Ces derniers ne peuvent provenir que de donneurs vivants apparentés, pour un membre de leur propre famille, ou à partir d'une personne en état de mort encéphalique, généralement suite à un accident de la voie publique.
 
Hélas, il y a manque flagrant de greffons, faute de donneurs, qui ne sont pas sensibilisé au fait qu'un don cadavérique, peut donner la vie à plusieurs personnes. Encourager le don d'organes, est une responsabilité de l’État. Et elle ne s’acquitte pas de cette responsabilité, ce qui aboutit au décès de plusieurs dizaine de personnes.

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